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de 7/11/2000 à 14/11/2000 Maroc
de 14/11/2000 à 24/11/2000 Maroc
de 24/11/2000 à 30/11/2000 Mauritanie
de 1/12/2000 à 13/12/2000 Sénégal
de 16/12/2000 à 7/1/2001 Guinée (Conakry)
de 8/1/2001 à 29/1/2001 Mali
de 30/1/2001 à 23/2/2001 Burkina-Faso
de 23/2/2001 à 18/3/2001 Ghana
de 19/3/2001 à 5/5/2001 le retour

Jeudi 22/3/2002

Nous retournons sur Ouagadougou, avec la ferme intention de nous rendre ensuite au Bénin, le plus vite possible. En effet, nous devons récupérer les bagages que nous avons laissés chez Thierry. C’est aussi l’occasion pour Philippe de réparer notre lit, qui vient de se casser. Thierry nous fait visiter la fondation et Renée est toujours là. Nous abandonnons vite l’idée d’une visite éclair au Bénin, parce que nous devrions vraiment trop courir et nous ne sommes pas là pour avoir un ulcère, tant pis. Il y aura bien assez de stress comme ca. Notre alternateur est finalement réparé, grâce à Adama, et nous passons ½ journée à emballer nos poteries burkinabaises, sans trop d’espoir de les ramener en Belgique.

Samedi, par hasard, dans la petite échoppe ou j’allais acheter du pain, nous avons rencontré Solo, de Banfora, nous avons bu un verre ensemble et il m’a raccompagnée à la fondation sur sa mobylette, qu’il avait prise avec lui sur le bus. Il est venu chercher Isabelle à l’aéroport. Enfin, début d’après-midi, nous sommes partis avec un camion en parfait état. La route Ouaga-Bobo, on connaît. Il était trop tard pour arriver à Bobo, nous avons dormi à Boromo et le lendemain, nous avons roulé toute la journée pour arriver le soir à Bougouni, au Cyrano. Rama est là aussi, accompagnée d’un autre Thierry. Elle est très fâchée sur Adama parce qu’il lui a menti lorsqu’il est venu à Bobo. Soirée un peu crispée donc.

Nous repartons le lendemain, très tôt le matin, avant même que Rama soit réveillée, à Bamako changer nos derniers Traveller’s. Pas de bol,c’est jour de fête nationale et comme chez nous, les banques sont fermées. Quand nous en avons eu assez de chercher un distributeur visa, nous avons changé nos travellers dans la rue, sans gros problème, si ce n’est un taux légèrement plus haut qu’à la banque.

Nous n’avons pas envie de rester la nuit en ville et nous nous lançons plein d’ardeur sur la piste pour Kita. Si on peut appeler une piste cet escalier. Bien des rencontres de voyage nous ont parlé de cette piste et elle mérite bien sa réputation, même dans ce sens. A la sortie de Kati (juste après Bamako), les douaniers ne veulent pas reconnaître notre carte d’assurance et prétendent que c’est un reçu… Philippe voit rouge, engueulade, insultes, le douanier nous traite de colonisateur. Philipe voit rouge foncé. Ca fait quand même quatre mois qu’on trimbale notre assurance, et on est pas en forme pour s’en laisser conter. Après une heure de macération, les douaniers nous laissent continuer.

Mardi 27/3/2002

A Kita, où nous avons pris de l’essence, Mathias vient à notre rencontre. Nous nous sommes croisés hier à Bamako, et il nous a reconnu. Il est coopérant pour une ONG allemande qui veut promouvoir le parc national de Bafing mais la coopération va s’arrêter en juin. Il nous indique le meilleur chemin pour arriver à Kayes et nous invite à passer au barrage de Manantali, où il habite. Nous acceptons. La route est assez mauvaise pour que nous arrivions après lui, bien que nous soyons partis avant. Baignade dans l’eau du barrage, bienvenue car il fait super chaud. Souper dans un maquis, avec un ami de Mathias, un peace corps américain (l’équivalent de l’armée du salut ?) et un dernier verre dans le bar dancing de Manantali. Mais ce soir, il n’y a pas beaucoup d’ambiance. On a pas trop de chance avec nos sorties boite.

Mercredi 28/3/2002

Mathias est déjà parti à notre réveil. P’tit dèj sur la terrasse. C’est plus confortable que dans le camion (nous avons donné nos chaises et notre table à Renée et Adama, et depuis, on s’assied comme on peut, sur les tapis ou sur nos super chaises Ashanti). La route commence bien, nous embarquons un vieux monsieur, qui est de bonne volonté mais qui ne parle pas beaucoup français, et les conversations sont limitées, comme bien souvent. En chemin, nous croisons Mathias, qui nous indique encore le chemin. Mais à partir de là, il faut deviner la piste, et c’est le début du passage en enfer du camionneur.

Glurp ! Les téméraires de poids léger peuvent traverser le fleuve en roulant sur les rails, sans filet ni rambarde, émotions garanties, mais ouf, nous prenons le bac à Bafoulabé. A la sortie, 200 kilomètres d’une ancienne route qui a gardé quelques souvenirs de goudron, vraiment pénible pour les nerfs et le dos. Nous croisons des touristes belges, aussi en camion (le monde est petit), et qui nous rassurent, la route n’est pas meilleure avant le Sénégal. Petite consolation esthétique, les cases des villages sont peintes, un peu à la manière des cases sud-africaines que l’on voit dans tous les guides, mais dans des couleurs aux tons naturels, blanc, brun beige et noir et c’est très réussi.

Nous arrivons le lendemain à Kayes, 2eme ville du Mali, accessible uniquement par avion ou en train. Ici, toute vie tourne autour du chemin de fer. Tout y est plus cher qu’ailleurs, ou alors je me fais avoir. La ville est depuis 2 jours sans électricité, la bière fraîche est rare et les kayens (?) assez arnaqueurs, pas trop sympa. Mais nous sommes trop fatigués pour discuter et nous repartons assez tard. Malgré cette première impression, la ville est agréable.

Vendredi 30/3/2002

Passage de la frontière Mali-Sénégal. Du goudron, nous sommes sauvés. La route devient monotone mais nous ne sommes plus secoués comme des cocotiers. Nous nous arrêtons dans une petite ville, Bakel, pour manger mais nous ne trouvons rien, sauf un pneu crevé à notre retour… Ca, c’était pas prévu. Philippe, avec son entrain habituel commence à enlever la roue tout seul. Des jeunes proposent leur aide, et bien que nous ayons un doute sur l’origine accidentelle de la fuite, nous laissons faire quand même. Les jeunes sont sympa, mais ca nous coûte un peu cher, encore 7000 CFA (100 €). On se casse le plus vite possible, ce n’est pas drôle de rester dans un endroit ou on a eu la poisse.

Samedi 31/3/2002

Nous arrivons fin d’après-midi à Saint-Louis, et il y fait frais, nous rajoutons une petite laine. Un policier veut nous arrêter pour rouler trop vite, et ensuite parce que le moteur fait trop de bruit (c’est la preuve de l’excès de vitesse) mais il nous laisse passer. Nous retrouvons le Mermoz, pour un week-end de luxe.

Dimanche, lundi. Bon, le parcours classique d’un touriste au Sénégal : piscine, visite de la ville encore, la gare, le marché,…

Mardi 3/4/2002

Nous, nous sommes prêts à partir dès le matin, c’est seulement notre camion qui refuse. Notre frigo a tourné 3 jours sur la batterie et maintenant, elles sont mortes. Il ne nous reste plus qu’a recharger les batteries du camion, après avoir bien rechargé les nôtres. Nous partons finalement à 4 h. Et décidément, cette frontière ne nous convient pas. A notre arrivée, le douanier nous prévient que ca va nous coûter quelque chose … que nous n’avons bien sur pas envie de payer (au moins pas comme ca). Le policier, qui voit partir son bakchich, revient plusieurs fois à la charge mais nous ne sommes pas pressés et pour le prouver, nous campons crânement sur place.

Mercredi 4/4/2002

Il va falloir faire quelque chose si nous ne voulons pas prendre racine…c’est toujours le même douanier et Philippe va le voir malgré tout, et nous payons malgré tout aussi, parce que c’est jour de fête nationale et qu’il y a donc des heures sup., et que de toutes façons, le douanier a encore bien plus le temps que nous. Bon.

Ce détail réglé, nous passons la douane mauritanienne ; comme nous n’avons pas de visa, le douanier nous renvoie au poste suivant. Houaah ! Tout ça pour ça. Il ne nous reste qu’à repasser la frontière et filer à Rosso-Sénégal prendre le bac pour la Mauritanie.

L’arrivée au port est ce que l’on imagine tout à fait en Afrique mais néanmoins exceptionnel ; Des dizaines de personnes se pressent autour du camion pour nous aider à remplir les formalités ; nous avons beau leur dire que nous sommes assez grands pour nous débrouiller tout seul, rien n’y fait. Le policier qui règle l’embarquement estime aussi que nous sommes pressés et pour pouvoir partir tout de suite, nous devons payer 2500 CFA (4€). Là aussi, pour lui faire entendre que nous ne sommes pas pressés, il faut y mettre de l’énergie. Pour prouver que c’est lui le chef, il laisse partir le bac à moitié vide et tous ceux qui n’ont pas payé restent à quai. Il est 12H15 et c’est le dernier bac de la matinée. Donc, nous attendons encore un peu. Un changeur vient me faire la conversation pendant que Philippe essaie de penser à autre chose. Enfin, à 16h30, nous embarquons. La réception en Mauritanie est à peine plus calme mais tout se passe bien. L’inspecteur qui peut nous donner notre visa est très imbu de sa personne. Il compte 5 fois les dates pour nous donner un visa de 7 jours et nous file un visa de 3 jours. Enfin, il finit par corriger nos passeports. Les douaniers inspectent notre camion et nous avons oublié que l’alcool est interdit en république islamique de Mauritanie mais le douanier ferme les yeux sur notre demi-bouteille restante.

Enfin, nous sommes en Mauritanie. Après 50-100 km, nous nous arrêtons au bord de la route. C’est le désert, mais apprivoisé.

Jeudi 5/4/2002

Bitume jusque Nouakchott. Sur la route, les tentes nomades (les kaïnas) ont remplacé les cases. Marie ( Sédaty est au travail) , que nous allons saluer, nous apprend que les week-ends ont changé, maintenant, le week-end, c’est vendredi et samedi (au lieu de jeudi et vendredi). Tout le monde va bien et Lula, qui s’est ajoutée à la famille ressemble à son grand frère.

Nous avons changé d’itinéraire et allons passer par Atar, Choum et prendre la piste du chemin de fer. Les gens qui ont pris cette piste et que nous avons rencontré disent tous qu’elle est assez simple à suivre, que la difficulté vient d’une dune mouvante molle, et nous allons préférons ça à une deuxième fois la plage. Bivouac dans le désert, sous les étoiles.

Vendredi 6/4/2002

A Atar, le bitume s’arrête. La piste vers Choum est caillouteuse mais ca ne nous fait pas peur, avec notre gros camion. Elle est jolie, en hauteur et l’on voit la vallée, avec en bas une grande palmeraie. A Choum, après un dernier contrôle de police, nous sommes sur la piste du chemin de fer, sans convoi ni guide cette fois. Nous sommes seuls mais nous voyons beaucoup de traces. Devant les premières dunes, certaines traces continuent à suivre les rails, mais les plus récentes s’éloignent. C’est celles-là que nous suivons. Bivouac dans le désert, sauvage cette fois.

Samedi 7/4/2002


Nous longeons d’abord la fameuse dune mouvante pendant une dizaine de km Mais nous ne sommes pas d’accord sur la stratégie à adopter et de toutes façons, à un moment, il faudra quand même se jeter dans le sable. Alors, allons-y. Les 50-100 premiers mètres, ca va. Il y a des couloirs entre les cordons de sable. Mais ceux-ci rétrécissent et finissent par disparaître. Pas d’autre solution que d’escalader ces montagnes de sable mou et de chercher le meilleur passage. Nous tournons en rond pendant au moins 2 h mais il arrive toujours un moment où nous sommes bloqués et nous devons alors faire marche arrière. Sur le GPS, on n’avance pas. A ce rythme, il nous faudra 6 mois pour traverser ce passage. Tant bien que mal, nous sortons des dunes par où nous sommes entrés (heureusement que nous avons un GPS, parce que maintenant, il y a des traces partout). Que faire ? Essayer de trouver un passage plus loin ? Chercher un guide à Choum ? Revenir et suivre le chemin de fer de plus près ? Au loin, nous apercevons des tentes nomades et des 4X4 et nous allons leur demander quelle piste suivre. Les nomades parlent français, ouf, et disent que c’est facile, il faut remonter jusqu’au chemin de fer et toujours suivre les rails jusque Nouadhibou. C’est presque ce que nous faisons. Lorsque de nouvelles dunes viennent se jeter devant nos roues, nous les contournons … du mauvais côté. De nouveau du sable mou, de nouveau rebrousser chemin et sans doute un peu fatigués et surtout angoissés, on se pose méchamment sur une butte. Nous sommes bloqués dans le sable, le seul remède, c’est de pelleter avec énergie.

Finalement, ce n’est pas si grave et en une heure, nous sommes sortis du piège dans lequel nous nous sommes jetés. L’après-midi est déjà bien entamée lorsque, soulagement intense, nous rejoignons enfin le chemin de fer. Cette fois-ci, nous le longeons bien attentivement et c’est comme ça qu’on s’aperçoit qu’on a été vraiment con, que c’est hyper-facile, plat avec juste quelques passages sablonneux, rien à voir avec la saleté de sable de ce matin. Ouf ! On se dit que ça va aller. Toute l’après-midi, nous sommes tout joyeux de la facilité de la piste.

Dimanche 8/4/2002

Nous buvons beaucoup plus que prévu. Heureusement, à Tmeïmichat, on peut acheter de l’eau. Après Tmeimichat, beaucoup de cailloux, la piste devient plus difficile (c’est-à-dire, nous sommes toujours secoués). A part que l’on est plus cool qu’au banc d’Arguin et que nous savourons notre solitude, que nous nous perfectionnons (quel grand mot) dans la découverte des étoiles (on voit très bien Pégase), rien de spécial. Si, trois fois par jour, le train le plus long du monde.

Lundi 9/4/2002

Dans 120 km, Nouadhibou. Une paille. La piste devient de plus en plus dure pour nos os (ou c’est l’age ?). Rentrer dans la péninsule de Nouadhibou n’est pas une mince affaire. De nouveau, les traces filent partout. La sebkha (lac desséché) nous sourit de toute sa platitude, mais c’est du sable hyper mou (mouvant ?). Heureusement pour le camion, Philippe a le bon réflexe de faire immédiatement marche arrière, nous sommes beaucoup trop lourd pour rouler là-dessus. Nous devons donc trouver un passage dans la montagnette pierreuse. Enfin, à 13h30, nous voyons Nouadhibou. Je n’avais pas vu la première fois que la côte était si belle.

Mardi 10/4/2002

Formalités et courses le matin.Ballade jusqu’au Cap Blanc, au bout de la presqu’île, repaire naturel et préservé d’une colonie de phoques moines. Très joli, sauvage et mer d’un bleu entre turquoise et glacier . A droite, le désert. Mais pas vu de phoques.

Selon nos renseignements, si nous arrivons avant 6H du soir au campement à la frontière marocaine, là où nous avons passé la nuit à l’aller, nous devrions pouvoir partir pour Dakhla le jour même. Comme la piste vers la frontière est toujours minée et difficile, nous partons vers 2h, afin d’être au campement à temps.

Au début, la piste est facile à suivre, mais bientôt, les traces s’emmêlent et par sécurité, nous restons sur le goudron espagnol, une bande de bitume qui n’est plus entretenue depuis le départ des espagnols, il y a vingt ans de cela. Au moins, il n’y a sûrement pas de mine en dessous. Nous arrivons à 4h à la frontière mauritanienne, pour les dernières formalités. Le douanier nous souhaite bonne chance.

Nous comprenons un peu tard pourquoi. Nous ne voyons nulle part de traces de voiture, le vent a tout effacé et par prudence, nous continuons sur le goudron espagnol. C’est une très mauvaise idée car nous nous perdons dans ce que nous supposons être le champ de mines et c’est seulement bien après la tombée de la nuit et beaucoup de doutes et d’angoisse que nous arrivons au campement marocain, où nous ne pouvons quand même pas entrer parce qu’il est trop tard. Ca n’a plus d’importance, nous dormons ou nous pouvons, nous sommes complètement épuisés, nous pensons que nous avons eu de la chance.

Mercredi 11/4/2002

Très bien dormi.

Nous voyons passer le convoi sortant. Pour eux, c’est le début.

Nous arrivons au camps vers 10H30. Fouille du véhicule pour tout le monde. Je m’attend à avoir des problèmes, qu’on nous confisque le GPS et les pellicules, mais non. C’est inattendu mais il y a beaucoup de monde pour remonter par le Maroc. Alain, avec son acadiane, que nous avons rencontré à Ouaga et avec qui on a vidé pas mal de pastis et joué à la pétanque arrive aussi. Surprise, bisous. 2eme surprise quand nous apprenons que nous devons attendre le lendemain 4h pour aller à Dakhla. Il faut avoir la permission pour entrer au Maroc par ce poste et ca prend +/- 24h. Que faire pour tuer le temps ? Jouer à la pétanque, bien sur. Un vieux mauritanien bat Alain à plates coutures, choquant pour un provençal de pure souche. Comme ca, on a appris qu’il y avait un club de pétanque très actif à Nouadhibou. Les belges en camion rencontrés sur la piste de Kayes sont là aussi.

Jeudi 12/4/2002

On passe le temps comme on peut, on discute. A 16h, nous pouvons partir.

Il nous faut un certain temps pour faire les 400 km qui séparent la frontière de Dakhla. Après 150 km, Alain tombe en panne d’essence et nous le remorquons sur 100 km. Il n’est pas très rassuré de se faire tirer ainsi et doit être soulagé de voir la station service. Les pompistes nous offrent le thé (il est 11h du soir) et ca nous fait une petite pause bienvenue. Nous arrivons à Dakhla à minuit

Vendredi 13/4/2002

Malgré la date, il ne s’est rien passé de spécial. Formalités de sortie, plein de carburant et retour vers l’Europe.

Apres le 13/4/2002

Nous sommes remontés par la côte marocaine, très jolie mais souvent venteuse. Nous avons toujours roulé avec Alain jusque Tanger (15/4/2001), où lui a repris le bateau pour Sète, tandis que nous sommes remontés par l’Espagne. Près de Agadir, nous sommes encore tombés en panne et Alain, qui avait sans doute une dette envers nous, a essayé de nous tirer avec son aca-diane mais n’y est pas parvenu (je n’ose pas dire qu’il ne faisait pas le poids). En Espagne, nous avons carburé pour prendre le temps en Provence, ou nous avons retrouvé Alain à Bedoin (23/4/2001). Nous sommes encore passé par Paris (28/4/2001), saluer Virginie et Jean-Yves et nous avons encore eu un incendie de moteur à Paris. C’était notre dernier ennui mécanique. Nous sommes rentrés tranquillement en Belgique ou notre première visite a bien sur été pour Sébastien, et c’est fini(1/5/2001).

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